Mizuno Marian

[ . Start . ]



Poste Vacant # [ oui, non ]
Célébrité de votre avatar # Ryutaro {Plastic Tree}


[ . Personnage . ]

L'homme est une marionnette consciente qui a l'illusion de la liberté.



Nom # Mizuno
Prénom # Marian
{A prononcé comme Mariane} Un nom peu commun pour un japonais. Sa mère étant très croyante, elle l'a ainsi nommé. Venant du prénom Maria, du chant religieux.
Âge # 17 ans. Né le 23 Novembre
Marian semble plus enfantin que son âge. Dix sept ans, alors qu'il peut parfois en paraître quinze. Il en joue parfois auprès de personnes trop crédules afin de profiter de leur gentillesse et de leur affection.
Le 23 Novembre, une date sans trop d'importance. D'ailleurs lui même n'y pense pas. Il n'est plus habitué à ce qu'on lui souhaite son anniversaire, c'est une chose futile pour lui.
Année # 2ème année
A savoir que ses résultats scolaires ne sont pas très bon.

Famille # Brisée
Mizuno Tsuki : Sa mère. Décédée il y a douze ans. Elle s'est suicidé quand son fils avait à peine cinq ans. On ne saura jamais vraiment pourquoi ce geste desespéré et c'est bien ce qui blesse le plus Marian.
Mizuno Akira : Son père, décédé lui aussi il y a quelques années. après la mort de sa femme, il est devenu violent envers Marian, faisant passé sa colère, sa tristesse, sa frustration à travers les coups.
Marian le déteste et se sent mieux depuis la mort de son paternel.
Okada Mitô : Sa tante, du côté maternelle. C'est elle qui à eu la garde de Marian après le décès des deux parents. Leur relation n'est pas très bonne, mais pas mauvaise non plus. elle est la seule famille qu'il lui reste et il y est bien plus attaché que ce qu'il veut montrer.

Il ne faut regarder ni les choses, ni les personnes. Il ne faut regarder que dans les miroirs, car les miroirs ne nous montrent que des masques.



Caractère # Complexe

Endors toi petit. Je te jure,
Demain tout ira mieux bien sur
Oublie ces paroles,
Oublie ces gestes qui t'ont tant fait souffrir
Endors toi mon beau. Je sais,
Le provoquer, c'est pas ce que tu voulais
Je sais tu l'aime, tu n'a pas fais exprès

Encore une nuit
Où tu est seul accroupi dans ton lit
Où tu as mal, et tu n’as rien compris
Ne t'en fais pas je sais qu'il t'aime aussi

Pourquoi c'est toi
Qui fini toujours dans ses bras ?
À supplier de pardonner
Des gestes que t'a jamais poser ...
Je sais, un jour, tu lui pardonnera a ton tour
D’avoir cru que c’était de l'amour,
D’avoir volé l'enfance que t'a toujours désirer

Assis tout seul dans le salon
Ton père marmonne ses illusions
Il se fait croire qu'il a raison
Qu’il n'a pas vu les bleus sur ton front
Pourtant il a si mal
Pourquoi est-ce si normal
De tant vouloir t'aimer
Sans cesse de te faire pleurer ?

{Marie Mai. Encore une nuit}

Marian peut avoir l'apparence d'un vilain garçon, alors qu'il est simplement encore un enfant. Il n'a pas une double personnalité, mais il ne sait pas lui même qui il est. Se cacher derrière des attitudes enfantines pour se protéger.
Battu dans son enfance, il fait encore de nombreux cauchemars et c'est le fait qu'il ne dorme presque pas qui le rend aussi vulnérable.
Il souffre encore de problèmes psychologiques bien qu'il ai été soigné durant de longues années.
Il est victime de ses propres ténèbres, avec quelques tendances suicidaires bien qu'il ne soit jamais passé à l'acte pour le moment.
On ne peut pas le cerner, personne ne pourra jamais savoir qui est ce garçon étrange, puisque lui même ne le sait pas. Son visage n'est pas très expressif, et il semble toujours dans la lune, ce qui est le cas. Il peut même parfois paraître stupide.
Marian fait pourtant preuve d'une douceur et d'une gentillesse extrême. Il dégage une aura féminine assez rassurante.

« Take my hand, take my whole life too »

L'amitié c'est sacré. La devise de notre cher Marian capable de tout pour ses amis. Mais pour cela, il faudra le toucher et prouver que l'on est digne d'avoir sa confiance. Malgré les apparences, il reste méfiant concernant les autres, les apparences ... Comme les couvertures des livres : elles peuvent être si belles et pourtant l'intérieur si laid. Ou bien au contraire, avoir une couverture déchiré, et le récit le plus magnifique qu'il soit.
Comme quoi ... Chaque chose renferme un trésor et Marian est toujours près à le découvrir. Loin d'être prétentieux, il accepte de venir en aide à toutes personnes dans le besoin. Fidèle et toujours sincère, il déteste le mensonge, une des seules choses qu'il est incapable de pardonner. Le mensonge ... un mot si simple et pourtant qui cache de nombreuses souffrances. Mensonge, voilà exactement le bon mot pour résumer son enfance. Enfance raté.
Il sait être présent quand il faut, dans les bons et les mauvais moments, mais jamais il ne dépassera les limites. Ce qui est d'ordre privée et qui ne le regarde pas. Malgré cette petite touche de curiosité faisant partie de son caractère, il sait se tenir à carreau.
Marian est un bon ami, même si parfois il doute de ses capacités à consoler les autres. Il a les mots qu'il faut, mais ne s'en rend pas compte. Pourquoi ? Ce manque permanent de confiance en soi.

« Puisqu'on est jeune et con »

L'adolescence. La période où on se lâche comme jamais. Celle où on se sent invincible, capable de tout.
Bien que le mot 'con' ne corresponde pas tout à fait à notre Marian. Il n'est pas vraiment stupide, simplement pas très futé.
Marian à toujours cacher la part sombre de sa personnalité. Le fait qu'il se sente seul, le fait qu'il se sente mal. Ne pas inquiéter les autres, rester sois même ...
Il est donc un jeune homme parfois débile, avouons le tout de même sans nous voiler la face, qui aime s'amuser. Ce n'est peut être qu'une façade, mais il aime réagir tel un enfant. On lui a volé son enfance, il se doit de récupérer ces années perdues. C'est ce qui attire les autres vers lui en général, cette attitude légèrement détachée, je m'en foutiste. De cette façon il se retrouve dans des situations farfelues, les plus embarrassantes les unes que les autres, attirant presque les ennuis, comme le ferait un aimant. Il aime les situations dangereuses et ne sait pas très bien toujours s'en sortir. En revanche quand cela concerne les autres, une petite idée fait son apparition. Mais ce qui le caractérise bien, c'est bien son éternel maladresse. Le roi des gaffes, qui passe sont temps à s'excuser auprès des autres ... Marian est quelqu'un de très attachant avec ses défauts et ses qualités.

« La différence, Celle qui dérange, Une préférence, un état d'âme, une circonstance »

Et oui ... Quelque chose beaucoup plus tabou dans ce pays. L'homosexualité et même la bisexualité. Sans avoir vraiment eu de réelles expériences amoureuses, Marian sait très bien que les filles ne sont pas ce qu'il préfère. Pourquoi se mentir ? Autant accepter tout de suite cette forte attirance pour la gente masculine. Avec tout ce qui lui était arrivé ... Sa mère était une femme, il lui était donc incapable de les aimer.
Secret ? En quelque sorte. Si on lui pose la question, il n'hésitera pas à répondre, mais si personne ne s'y intéresse ... silence ... le plus beau mot qui soit dans ce genre de situation.
Il n'a pourtant aucun mal à s'assumer. Est-ce une maladie ordinaire un garçon qui aime un garçon ?
Être un étranger dans son corps, ce n'est pas comme avouer un mensonge, d'ailleurs il n'a pas honte de lui. Juste crever l'abcès qui le ronge et finir en paix avec lui. S'accepter !

L'apparence n'est rien, c'est au fond du coeur qu'est la plaie



Physique # Peu commun

Sa silhouette est pareille à celle d'un ange, fin, élégant .
Marian n'est pas très grand, il est d'environ 1.64m pour ses 48 kilos a peine atteint. Il n'est pas maigre mais prendre du poids ne pourrait que le rendre encore plus séduisant. Sûrement pas complexé par son physique, il s'accepte tel quel et accepte les critiques des autres, peut être jaloux.

Quand on se rapproche un peu de ce jeune homme on peut observé de magnifique cheveux châtain tirant vers le noir, luisant aux rayons du soleil, laissant apparaître ses racines plus claires. Ceux ci lui tombent sur sa nuque fine jusqu'au niveau de ses épaules. Il met souvent met souvent de petites barrettes pour ne pas les abîmer car il veut en prendre soin. En les observant un peu mieux on peut remarquer quelques mèches plus claires, du au soleil, un fait naturel et aussi aux produits colorants. Cet éclaircissement ne fait que rajouter un peu plus de charme. Ils sont lisses et on peut les sentir glisser entre ses doigts, comme de l'eau, d'une grande fluidité. Souvent quelques mèches malines ayant réussit a s'échapper de leur prison viennent lui chatouiller le visage et parfois cacher ses yeux ... Il a prit l'habitude de changer de couleur assez fréquemment, passant du gris au noir, puis au blond ...

Ses yeux, il n'y a aucun mot pour définir leur magnificence. Mais essayons quand même. Ils sont d'une beauté, un léger marron clair mélangé a quelques touches de noir brillant ...Une des plus belles couleurs qui puissent exister dans ce monde. Ce "cadeau" vient de son père, qui avait le même regard. C'est un de ses plus beaux et grands atouts, car peu de personne possède des yeux comme ceux la. Mais Marian ne supportant pas son regard le cache grâce aux lentilles de contacts colorés d'un peu toutes les couleurs possibles.
Quand on le regarde dans les yeux pendant un long moment, il faut faire attention, car on peut vite s'y noyer, comme on se noierait dans l'océan. C'est dans son regard que l'on remarque le mieux ce que Marian ressent.

Descendons un peu plus bas de façon à voir son nez, fin, lui aussi, et droit. On peut passer son doigt dessus sans ne sentir aucun creux ni aucune bosse. Son petit nez qui le rend parfois si attirant. Mais nous n’allons pas nous attarder dessus, car plus il y a sa bouche … ses lèvres, si fines de couleurs roses mais pâles. Légèrement pulpeuse quand on le regarde de plus près ... comme si cette fine bouche vous appelait ... Fermez les yeux et ne voyez que ses lèvres bouger, appelant votre nom d'une voix douce et angélique

Au niveau vestimentaire. Certes, c'est un jeune garçon parfois efféminé, et cela se voit à ses tenues assez près du corps. Mais il n'est pas non plus travesti, loin de la. Le plus souvent, on le voit vêtu de jean ou bien de pantalons larges accompagné de toutes ses chaînes et de ses baskets ... Ce genre de basket qu’avaient les gens les plus pauvres a une époque. Puis on remonte un peu pour apercevoir son T-shirt, généralement, il y a toujours quelques graffitis sur ses hauts, sauf avec ses chemises. Ce sont des T-shirt, assez près du corps eux aussi, mettant bien ses formes en valeur. Et pour ne pas avoir à subir la fraîcheur des soirées d'été, il porte un petit gilet marron, surmonté d'une capuche en cas de pluie, ou de beaucoup de vent. A son poignet gauche on peut observer de nombreux bracelets en plastiques noir, qui ne sont peut être que du toc mais qui ont une grande valeur sentimentale pour lui.

Il possède cinq piercing à chaque oreille ce qui fait dix puis un autre sur la langue, celui qu'il considère comme son petit bébé. Et un dernier au niveau du nombril.
Passons aux tatouages. un au creux de ses reins représentant la Pomme du pêché d'Adam et Eve, un autre juste en haut de l''épaule qui cette fois représente l'arbre du pêché. Oui on reste dans l'interdit, tout ce qu'aime Marian, il n'avait jamais lu la bible mais l'histoire des deux amants lui avait vraiment plu quand il l'avait entendu. Et pour finir un roses noir et blanche se trouve juste sur sa nuque, parfois caché par ses cheveux

L'anniversaire de naissance n'est, en somme, que la commémoration de la farce sinistre que nous ont faite nos parents en nous mettant au monde.



Histoire #

« Okaasan, Okaasan, Okaasan »

Juste les cris d'un enfant âgé de cinq ans qui résonnaient dans cette maison vide. Maison ou l'odeur de renfermé régnait plus que jamais. Un père déchiré incapable de bouger, une mère étendue sur le sol. La maladie ... Maladie terrible qui se saisit surtout des jeune âmes, ardentes et toutes neuves à la vie. Ce mal c'est la haine de la vie et l'amour de la mort, c'est l'obstiné suicide.
A peine vingt cinq ans et voilà qu'elle s'en était allé.
Allez lui expliquer. Aller expliquer à cet ange qu'il ne reverrait plus jamais sa mère. Allez lui dire ce qu'était la mort ... Allez le détruire ce coeur qui goûtait à peine à la vie.

« Okaasan, Okaasan, Okaasan »

Le bruit d'une gifle, Marian à terre. L'expression de haine qu'il avait pu lire dans le regard de son père à cet instant l'avait marqué pour le reste de sa vie. Tous ses membres repliés contre son corps frêle. Que se passait-il ? Pourquoi ? Comment ?
Toutes ces questions inutiles et bien trop importantes pour un garçon de son âge. Cette violence allait avoir certaine répercutions, mais ça, monsieur Mizuno ne le savait pas encore. Dans un élan de colère il se pencha sur son fils, sa propre chair et son propre sang, et sans hésité une seconde il leva à nouveau la main sur lui encore et encore, comme possédé, il lui était devenu impossible de s'arrêter. Les coups volaient sous les cri de douleur et de frayeur du petit garçon.

« Tout est de ta faute ! Ta mère n'arrivait pas à te supporter, regarde ce que tu as fais ! Tu n'avais pas le droit de prendre sa vie ! »

Des mots si violents ... On nourrit une haine envers son fils, on n'arrive pas à accepter que la femme que l'on aime ai quitter cette terre, le temps passe,la mort prend. Bien trop aveuglé par la souffrance, monsieur Mizuno était incapable de croire que Marian n'avait rien fait. Des mots ... ceux qui blessent, ceux qui laissent des cicatrices. Des mots encore plus atroces que les gestes. Que faire quand on a, à peine cinq ans et qu'on est accusé du suicide de sa mère ?
Les maladies de l'âme sont plus funestes que celles du corps.
Marqué à tout jamais. Dans l'âme, sur le corps. Ses traces, Marian les voyait, elles étaient la pour lui rappeler qu'il n'était rien d'autre qu'une ordure. Les bleus avaient disparus, mais dans son esprit, chaque cicatrice se reformait au bon endroit.

« Okaasan ... Je l'aime, même dans ce cercueil ... »

Cette phrase, il le savait, n'aurait jamais du être prononcé. Mais comment dire à un gosse de ne plus jamais parler de sa mère. On essaye, sans succès. On insiste, sans succès. On frappe.
Grandir dans cette ambiance salace de perpétuel conflit n'apportait rien de bon au jeune garçon. Devoir subir les excès de rage de la seule personne qu'il nous reste, subir sans rien dire de peur de le perdre. A cet âge la on ne comprend rien, à part les dessins animés. Marian comme tous les enfants étaient curieux, aventureux ... Mais contrairement à ses camardes de classe il savait prendre ses distances et même à l'âge de dix ans il savait ... Il savait qu'il ne devait rien demander à son paternel sous peine de recevoir un coup. Qui pouvait se douter que les traces sur son corps étaient faite par son père, à son âge, on tombe sans arrêt, on se blesse, on est inconscient ... Et bien non chacune des marques ne venaient que d'une seul personne. Merci papa ... De rien c'est cadeau, c'est gratuit.

Prendre du recul ... Comment pouvait-on savoir ce que cette phrase signifiait quand on n'était même pas entré dans la période de l'adolescence?
Ah ... Ironie, vie de merde, monde pourri.
Frustration, indignation, solitude. Ce n'est pas ce qu'un jeune homme de l'âge de Marian devait ressentir comme sentiments.
Mais pourquoi ne réagissait-il pas me demanderiez vous ? Pour la simple raison que face à un homme tel que son père Marian ne faisait pas le poids et ne le ferait sûrement jamais. Déjà que les traits de son visages étaient efféminés, son corps aussi.

« Marian laisse nous ! Vas jouer avec les filles !»
« Pourquoi ? »
« Parce que tu leur ressemble plus ! »

Quelle cruauté. Même se faire rejeter par le peu d'amis qu'il avait.
Mais Marian de cette façon se rapprocha plus des filles, commençant à assumer son côté androgyne qu'il ne pouvait visiblement pas changer.
C'était ça la vie ... Pas le paradis. Des hauts des bas. Mais surtout des bas dans la vie de Marian. Après tout, se plaindre ? Pourquoi ? Perdre encore son temps. Il fallait juste trouver la techniques pour ne pas s'attirer les foudres d'un père alcoolique et accro aux médicaments. Anti-dépresseur, aspirine, tous ses mélanges allaient finir par le tuer. Mais aussi atroce que cela puisse paraître l'adolescent n'attendait que ça. Un légume, voilà ce qu'il allait devenir et Marian était trop jeune pour prendre en charge son seul parent qu'il avait finit par haïr tout comme son père l'avait détester. Malgré les apparences, la rancune était bien la et plus forte que jamais. Mais en venir à le tuer allait peut être un peu trop loin. S'il se faisait prendre ? Il n'avait que quinze ans. Bien que sa vie soit déjà foutu en l'air, il ne voulait pas non plus avoir plus de problème.
Son rêve se réalisa finalement.

« Au revoir papa »

La seul phrase qu'il avait prononcé à l'enterrement, sans verser aucune larme. Pourquoi pleurer et avoir un sentiment même de pitié pour un homme comme lui. Homme était un bien joli mot pour le décrire.
Le petit garçon qu'était Marian avait grandit beaucoup plus vite que les autres enfants de son âge, sa maturité était incroyable et il faisait preuve d'une grande intelligence. Maintenant orphelin, il fut recueuillit par sa tante.

« Marian ... pourquoi tu agis de cette façon ? »
« Comment ? »
« Comme un enfant »
« Ah ... ça ? Juste pour me protéger »

Et les années passèrent, jusqu'à aujourd'hui.

La beauté c'est quelque chose dans le regard qui exprime l'intelligence, et l'intelligence c'est quelque chose dans le regard qui exprime la beauté.



Relations #


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Surnom # Eiki
Vôtre âge # 17 ans
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Comment l'avez-vous trouvez # Top-site
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